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Administrateur de production: Description d'un métier en tension

L'administrateur de production assure la gestion financière, comptable, sociale, fiscale et administrative des productions audiovisuelles et cinématographiques (longs métrages, documentaires, séries télévisées...). Il intervient en amont du tournage (préproduction), pendant le tournage et après le tournage (post-production).

Aux côtés du directeur de production, ce professionnel établit le devis définitif d'un film, produit les prévisions de trésorerie, suit l'application de l'ensemble des contrats et contrôle les dépenses de la production. En fin de projet, il établit un bilan général des dépenses effectuées au regard du budget initial qu’il transmet à la société de production. L'administrateur de production doit être au fait des spécificités du champ de l'audiovisuel et connaitre les métiers et organisations du travail propres au secteur. 

La réalisation de cette fiche emploi-repère permet de décrire et formaliser les activités et compétences de ce poste clé, mêlant comptabilité, gestion sociale et financière.  

Etude publiée en décembre 2021

>>> Etude sur la réalisation du référentiel métier Administrateur de production

>>> Fiche métier Administrateur de production

Quelles sont les perspectives pour l’emploi et la formation dans votre région et quels impacts sur vos métiers et les compétences professionnelles ?  

Les transitions technologiques, écologiques et énergétiques, ainsi que les mutations économiques entraînent une évolution des besoins en emploi et en compétences des professionnels des Hauts-de-France. 

Pour vous accompagner au plus près de cette dynamique, une analyse prospective des besoins en emplois et compétences dans les secteurs de la culture, des industries créatives, des médias, de la communication, des télécommunications, du sport, du tourisme, des loisirs et du divertissement, en Hauts-de-France s’est achevée fin 2022.

Cette étude s’inscrit dans le cadre du Programme d’Appuis aux Contrats de Branches pour la mise en œuvre du Volet 1 « Appui à la connaissance des secteurs d’activité, de leurs problématiques emploi-formation et de leurs besoins » conclu entre les représentants des secteurs visés, l’Afdas et le Conseil régional des Hauts-de-France. A ce titre, elle a bénéficié du cofinancement de la Région Hauts-de-France.

Réalisée par le cabinet Sauléa en partenariat avec Actéhis, cette étude a permis :

• D’établir un état des lieux de la structuration du tissu économique et des emplois en Hauts-de-France.
• D’identifier les facteurs d’évolution clefs, les tensions/problématiques de recrutement, l’offre et les besoins en formation.
• D’analyser les effets des mutations en cours sur les activités, métiers et donc besoin en compétence et de produire une analyse prospective des emplois et des compétences, fondée sur les besoins actuels et à venir des entreprises à l’échelle des Hauts-de-France.

Un véritable outil au service de votre stratégie RH pour :

• Répondre à vos problématiques emploi-formation.
• Anticiper vos besoins en compétences.
• Construire des parcours de formation adaptés à vos besoins.
• Accompagner la poursuite d’activité.

Passez à l’action ! 

Des webconférences sectorielles de restitution des grands enseignements de l’étude ont eu lieu le 6 et le 8 juin 2023 pour agir ensemble sur l’emploi et la formation en partageant les perspectives liées à vos activités et vous informer sur les outils et dispositifs mobilisables.

>>> Découvrez dès maintenant les présentations des webconférences dédiées à vos secteurs :

• Evolution des Emplois et Formation dans les Télécommunications du 06.06.23 de 10h à 11h30

• Evolution des Emplois et Formation dans les Industries Culturelles et Créatives du 06.06.23 de 14h à 15h30 (Spectacle vivant, Audiovisuel, Distribution de films, Distribution Directe, Publicité, Exploitation cinématographique, Presse et Editions)

• Evolution des Emplois et Formation dans le Tourisme, les Loisirs et le Divertissement du 08.06.23 de 10h à 11h30 (Organismes de tourisme, Hôtellerie de plein air, Casinos, Espaces de loisirs, d’attractions et culturels, Golf)

• Evolution des Emplois et Formation dans le Sport du 08.06.23 de 16h à 17h30

>>> Découvrez le Contrat d'étude prospective emploi-formation Hauts-de-France : 

Le programme de l’EDEC Infrastructures numériques, lancé en décembre 2021 via une grande étude intersectorielle, se poursuit avec la publication de l’analyse prospective des besoins en emplois et compétences de la filière des infrastructures numériques à l’horizon 2030.

Réalisée par le cabinet Katalyse, avec la mobilisation de la DGEFP, des branches professionnelles des télécommunications, des travaux publics, du bâtiment et de la métallurgie, de l’Afdas, Constructys, Opco 2i ainsi que de nombreux experts de la filière et de la formation professionnelle, cette étude s’articule autour des « grands chantiers RH » de 4 domaines techniques :

1. Les réseaux filaires nationaux (fibre optique, ADSL),
2. Les réseaux mobiles nationaux (de la 2G à la 5G),
3. Les réseaux locaux d’équipements connectés (territoires connectés et réseaux privés)
4. Les datacenters.

Une création nette de 33 000 emplois d’ici 2030, différenciée selon les chantiers

• Concernant la technologie FTTH – Fiber To The Home (fibre optique), la création de plus de 2 000 emplois sur la maintenance du réseau (en phase finale de déploiement) est à prévoir pour atteindre près de 6 500 emplois pérennes en 2030. Néanmoins, une baisse des effectifs, de 15 000 emplois aujourd'hui à seulement 2 000 emplois en 2030, concernera les métiers du raccordement final chez l'abonné, après un pic d'activité en 2023 ou 2024.
• Parallèlement au déploiement de la fibre, le retrait progressif de l’offre ADSL impliquera le décommissionnement (démontage) du réseau cuivre générant une hausse des recrutements à l’horizon 2027 ou 2028.
• Le marché des réseaux mobiles nationaux bénéficiera lui aussi d’une hausse des recrutements, puis d’une stabilité globale à partir de 2024, le déploiement de la 5G prenant le relai de celui de la 4G, avec des métiers qui évoluent peu. Les trois métiers les plus mobilisés resteront ceux de technicien(ne) déploiement ou technicien(ne) réseau GSM, ingénieur(e) infrastructures télécom et technicien(ne) de maintenance. Pour l’ensemble de ces marchés liés aux réseaux mobiles nationaux, les besoins en effectifs augmenteront de 13 500 emplois pour atteindre 34 000 emplois en 2030 (versus 20 500 emplois en 2022).
• L’émergence des technologies cloud et edge, ainsi que la spécificité et la complexité croissante des besoins locaux, vont multiplier par 5 les besoins en emplois pour les réseaux locaux d’équipements connectés (de 7 300 emplois en 2022 à 39 000 emplois en 2030) en réponse à une très forte demande des collectivités publiques (territoires connectés), des entreprises (notamment industrie et agriculture) et pour l’exploitation et la maintenance des réseaux (passant de 2 400 à 16 100 emplois en 2030).
• Le déploiement des datacenters s’accompagnera du doublement des besoins en emplois, jusqu’à 20 420 en 2030, essentiellement autour des pôles économiques d’Ile-de-France et d’Aix-Marseille. Les tendances sont à la hausse (en volume d’emploi et en spécialisation des compétences) pour tous les métiers qui s’y exercent : chargé(e)s de comptes, ingénieur(e)s maintenance IT, technicien(ne)s datacenter, technicien CVC, expert(e)s exploitation datacenter… avec d’importants besoins en formation pour des métiers courants voués à gagner en expertise dans les environnements dit « hébergés » des datacenters.

Pour en savoir plus :                                 

>>> Retrouvez l’étude réalisée en 2022 sur « Les marchés émergents des infrastructures numériques à l’horizon 2030 » 

>>> Retrouvez la publication sur le site du ministère du Travail, du Plein emploi et de l'Insertion, rubrique Engagement développement de l'emploi et des compétences

>>> Découvrez le rapport complet 2023 , la synthèse et son infographie : 

Comment s’adapter aux enjeux d’emplois et de compétences des saisonniers du tourisme ?

Quel est le profil des saisonniers du tourisme ? Quelles sont les mutations à l’œuvre et les impacts sur les stratégies de recrutement des entreprises du tourisme ? Quels sont les leviers d’attractivité à actionner sur ces métiers et les actions à développer pour répondre aux besoins en emplois et compétences actuels et à venir ?

La filière tourisme constitue un vivier d’emplois saisonniers important en France, 1ère destination touristique mondiale. Dans le même temps, les métiers du tourisme font face à de véritables mutations, liées notamment aux conséquences de la crise sanitaire, ou encore à l’évolution du rapport au travail.

Afin de mieux identifier et anticiper ces évolutions et les nouvelles compétences attendues, les sept principales branches professionnelles dont les activités sont liées au tourisme[1], leurs opérateurs de compétences Afdas et Akto livrent une analyse quantitative et qualitative sur les emplois saisonniers dans plusieurs métiers du secteur du tourisme (Hôtels, Cafés, Restaurants, Casinos, Espaces de Loisirs, d’Attractions et Culturels, Organismes de tourisme, Hôtellerie de plein air, Restauration commerciale libre-service et Restauration rapide). Celle-ci a été mené dans le cadre de l’Engagement pour le développement de l’emploi et des compétences (EDEC) Tourisme cofinancé et accompagné par le Ministère du Travail, du Plein emploi et de l’Insertion.

Réalisée par le cabinet Katalyse, l’étude répond à deux objectifs :

• Quantifier le nombre de travailleurs saisonniers (notamment par activité).
• Comprendre leur parcours, leur profil, leurs attentes, les besoins et les contraintes liés aux spécificités de la saisonnalité pour construire une stratégie emploi-formation cohérente et adaptée.

À la clé, un portrait chiffré et détaillé des saisonniers du tourisme, un décryptage des enjeux du secteur et des recommandations, véritables outils stratégiques RH pour développer l’attractivité des métiers, fidéliser les salariés et sécuriser les parcours professionnels.

À LIRE :

Un profil statistique des saisonniers

La saisonnalité de l’activité récurrente en été et hiver, la proportion de saisonniers dans chaque branche, la grande diversité des métiers de saisonniers (métiers de l’hôtellerie, de la vente, de l’animation, de l’entretien, de l’administration…) et la majorité de contrats de travail occasionnels (54%) ou saisonniers et de contrats à durée déterminée (CDD) (21%) apportent des clés de compréhension pour optimiser les actions sur le renouvellement des postes et le recrutement de nouveaux profils.

Les stratégies des entreprises employeuses pour recruter et fidéliser

Les deux dernières années, et plus particulièrement la saison 2022, ont été marquées par de fortes tensions en recrutement impliquant une restriction de l’offre en haute saison par manque de saisonniers. Plusieurs motifs sont invoqués par les entreprises conscientes de la nécessité d’adapter les critères de recrutement, leurs méthodes pour sourcer de nouveaux candidats et l’attractivité de leurs établissements.

Le profil et parcours des saisonniers

Les attentes différenciées en termes d’emploi et de formation des saisonniers permettent de définir six grands profils de saisonniers (les saisonniers de carrière, les saisonniers par hasard, les carriéristes avec un objectif professionnel précis, les entreprenants, les saisonniers de passage et les « jobs d’été ») et d’y associer des enjeux RH spécifiques relatifs à leur fidélisation, leurs besoins en accompagnement, leur sécurisation professionnelle, etc.

Les enjeux et recommandations

Pour outiller les structures et éclairer les axes de développement des compétences, l’étude distingue cinq familles d’actions pour répondre aux besoins en emplois et compétences des saisonniers du tourisme : «Jouer collectif durablement» en favorisant la mise en place d’actions sur les saisonniers en interbranche, élargir le sourcing pour former davantage de saisonniers du tourisme, favoriser les parcours de formation et de mobilité professionnelle des saisonniers durables, favoriser les solutions d’accueil locales pour les saisonniers et assurer une meilleure reconnaissance de la saisonnalité.

[1] 7 branches professionnelles : Casinos, Espaces de Loisirs, d’Attractions et Culturels (ELAC), Organismes de tourisme (OT), Hôtellerie de plein air (HPA), Restauration commerciale libre-service (RCLS), Restauration rapide (RR), Hôtels, cafés et restaurants (HCR).

>>> Pour aller plus loin: Visionnez le Webinaire Afdas Decrypt' spécial Semaine des Métiers du Tourisme 

L’exploitation statistique du répertoire des formations de la CPNEF-SV*, indique que le nombre de certifications préparant aux métiers du spectacle vivant évolue fortement : en 2022 on comptabilise 91 certifications différentes (une quinzaine en moins par rapport à 2021) mais 381 cursus ouverts** (une cinquantaine de plus par rapport à 2021).  
L’offre a particulièrement augmenté dans le domaine artistique de la musique et du chant. 
La baisse du nombre de certifications différentes est principalement liée d’une part à la réforme universitaire du LMD (qui a regroupé les diplômes), et d’autre part à la procédure de France compétences pour l’enregistrement dans ses répertoires (RNCP et RS), plutôt qu’à une clôture de l’offre : les formations continuent donc d’exister même si elles ne sont plus officiellement reconnues comme « certifiantes ».

*Export de la CPNEF-SV à partir des répertoires des diplômes, titres, CQP et certificats de France compétences (RNCP et RS)
** Parmi les 91 formations certifiantes certaines sont proposées par plusieurs organismes fonctionnant en réseaux (ex : diplômes universitaires, titres de fédérations) ou par un même organisme disposant de plusieurs établissements sur différents territoires, ce qui démultiplie l’offre.

Données : CPNEF-SV 2022
Réalisation : CPNEF-SV
Edition : Observatoire prospectif des métiers du spectacle vivant 2022
En partenariat avec l'Afdas

Quelles actions pour quels bénéficiaires?

12 346 salariés permanents du spectacle vivant (CDD et CDI) et 12 147 salariés intermittents (*) ont suivi une action de développement des compétences en 2020.

(*) Salariés du spectacle vivant et du spectacle enregistré en CDDU ayants droit à l’Afdas

Données : Afdas 2020
Réalisation : Afdas et CPNEF-SV
Edition : Observatoire prospectif des métiers du spectacle vivant 2022
En partenariat avec l'Afdas

L’Afdas, Akto, le ministère du Travail, le Comité d’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 et 19 branches professionnelles* livrent une étude visant à actualiser et approfondir la cartographie des emplois mobilisés par les Jeux de Paris 2024.

Cette étude s’inscrit dans le cadre d’un engagement pour le développement de l’emploi et des compétences (EDEC) « Grands évènements sportifs et culturels ».

Pourquoi cette cartographie des emplois mobilisés ?

Les grands événements internationaux (GEI) sportifs ou culturels offrent indéniablement des opportunités d’emplois pour des salariés, des demandeurs d’emploi qu’ils soient ou non qualifiés.

En plus de décrire les emplois mobilisés dans le cadre des JOP 2024, cette cartographie se penche sur les passerelles et les parcours entre grands événements internationaux (GEI) sportifs ou culturels. L’objectif est de profiter de cette dynamique afin de valoriser ces périodes d’emploi pour aider les salariés souvent en contrat court à consolider leurs situations professionnelles et de développer des parcours professionnels visant la montée et le maintien en compétences d’actifs qui pourraient profiter des différentes opportunités offertes par la succession d’événements.

Réalisée par le cabinet Amnyos et le CDES (Centre de Droit et d’Economie du Sport), elle répond à trois objectifs :

1. Une actualisation de l’estimation quantitative des emplois directement mobilisés par les Jeux de Paris 2024 sur la période 2022-2024.
2. Une actualisation de la description des métiers-clés mobilisés ainsi que des activités et compétences associées.
3. L’identification et la définition de parcours professionnels, entre grands évènements sportifs et culturels, avec l’objectif d’accompagner certains publics vers les métiers des Jeux.

Pour faire face aux besoins d’emplois mobilisés par les Jeux de Paris 2024, l’étude s’accompagne de 20 fiches métiers avec caractéristiques et enjeux spécifiques détaillés.

Un véritable outil au service de la stratégie RH des employeurs concernés par les JOP 2024 pour :

• Anticiper les besoins en compétences
• Elaborer les plans de formations avec des parcours adaptés
• Rédiger vos offres d’emplois et
• Dans la production des services directement liés aux Jeux et à son activité touristique.
• Offrant des perspectives de parcours d’emploi pour des chômeurs ou salariés précaires.
• Offrant des perspectives d’évolutions professionnelles pour les salariés occupant ces emplois au-delà des Jeux de Paris 2024.

*19 branches professionnelles : audiovisuel, presse et agences de presse, publicité, organismes de tourisme, spectacle vivant, sport, golf, télécommunications, commerces de gros, commerces de quincaillerie, enseignement privé non lucratif, entreprises de prévention et de sécurité, entretien textile, hôtels cafés restaurants (HCR), restauration rapide, restauration commerciale libre-service, restauration collective, propreté, travail temporaire.

Evènement: "Les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024: Créateurs d'emploi et leviers de développement des parcours professionnels!":

Retour sur la matinée d'échanges du 23 septembre 2022 pour la présentation et mise en perspective de la cartographie via deux tables rondes. L'occasion d'approfondir les enseignements de l'étude, s'en emparer, mettre en visibilité des métiers, valoriser les parcours possibles des métiers mobilisés lors de grands évènements et illustrer le maillage entre les différents acteurs de l’emploi.

Visionnez les capsules vidéos des intervenants de cette matinée:

Jean-Pascal Denis, directeur des ressources humains Réseau UGC, exploitation cinématographique

Thierry Boukarabila, représentant OS FO FGTA pour la branche hôtels, cafés, restaurants

Stanislas Surun, président de la CPNEF du Spectacle Vivant

Visionnez le replay de la conférence.

Et retrouvez le Communiqué de presse associé.

©FlorianHulleu

PLAN D'INVESTISSEMENT DANS LES COMPETENCES

>>> Consultez: 

Quelles sont les perspectives pour l’emploi et la formation dans votre secteur et quels impacts sur vos métiers ?

En Île-de-France, les entreprises, associations et clubs du sport et du golf emploient plus de 30 000 salariés et rassemblent près de 2,5 millions d’adhérents.

Grâce à la dynamique insufflée par l’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris en 2024, ce secteur pourrait encore se développer. Dans cette perspective, la DRIEETS (Direction régionale et interdépartementale de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités) Île-de-France et l’Afdas, en partenariat avec les branches professionnelles du Sport et du Golf publient un contrat d’études prospectives afin d’accompagner ce développement sur le territoire francilien et dans chacun des huit départements.

Cette étude s’inscrit dans le cadre du programme « Accompagnement des mutations économiques et développement de l’emploi et de la note de cadrage 2020 et du Développement de l’emploi et des compétences dans les TPE/PME ».

Réalisée par le cabinet Kyu, cette étude s’articule autour de :

• Un état des lieux socio-économique des activités du Sport et du Golf en Ile-de-France et dans les huit départements.
• Une analyse prospective fondée sur 3 scénarii d’évolution et leurs impacts sur les besoins en métiers et compétences dans ces branches sur les territoires franciliens.
• Des préconisations d’action pour accompagner le développement de ces activités.

Un véritable outil au service de votre stratégie RH pour :

• Anticiper vos besoins en compétences.

• Elaborer vos plans de formation adaptés à vos besoins.

• Rédiger vos fiches de poste ou vos offres d’emploi.

SAVE THE DATE ! Un évènement sur la valorisation des leviers d’action pour développer et favoriser l’emploi sportif en Ile-de-France aura lieu prochainement.

>>> Découvrez le rapport et sa synthèse: 

Quels sont les impacts liés à la crise Covid-19 ? Quelles sont les stratégies mises en place pour accompagner les salariés et les professionnels ?

La branche professionnelle du Sport et l’Afdas, avec le soutien du ministère du Travail ont confié au cabinet d’étude Amnyos et au CDES la réalisation d’un diagnostic-action pour pour évaluer les conséquences de la crise sur le secteur et ses trois composantes (sport associatif, sport professionnel et loisirs sportifs marchands).

Cette étude est réalisée dans le cadre de l’appel à projets « soutien aux démarches prospectives compétences » du plan d’investissement dans les compétences (PIC) pour la période 2018/2022.

Vous y retrouverez :

• Un état des lieux objectivé de la situation de la branche du Sport.
• Une identification des actions déjà mises en œuvre dans les structures.
• Une anticipation des besoins en emplois et en compétences en lien avec la reprise et la relance.
• Des propositions d’actions opérationnelles pour accompagner les entreprises, les salariés et les jeunes sortant de formation.

Un véritable outil pour :

• Accompagner les démarches de gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) des employeurs.
• Anticiper les tendances et les besoins en matière de formation.

Découvrez le rapport final et la synthèse de ce diagnostic action.